top of page

Suréquipements de SM-3: peu d’effets négatifs

2025.07.21

L'Agence d'évaluation d'impact du Canada (AEIC) a terminé son évaluation du projet de suréquipement de la centrale de la Sainte-Marguerite-3 près de Sept-Îles, au Québec et a déterminé que ses effets négatifs potentiels relevant d'un domaine de compétence fédérale seraient limités ou traités par d'autres moyens.

Le promoteur, Hydro-Québec, peut désormais aller de l'avant pour obtenir les autorisations et les permis nécessaires à son projet auprès des autorités fédérales. Pour prendre sa décision, l'AEIC a mobilisé d'autres instances, des experts fédéraux, des intervenants, le public et les peuples autochtones pour examiner la description du projet, identifier les effets potentiels de compétence fédérale et s'assurer qu'ils peuvent être traités. L'AEIC est d'avis que les effets négatifs potentiels du projet qui relèvent de la compétence fédérale seraient limités ou traités au moyen des lois et des règlements fédéraux et provinciaux existants. Cela comprend, sans s'y limiter, la Loi sur les pêches, la Loi sur les espèces en péril et la Loi de 1994 sur la convention concernant les oiseaux migrateurs, ainsi que la Loi sur la qualité de l'environnement du Québec.

Par conséquent, une évaluation d'impact fédérale approfondie n'est pas requise. Les documents et la liste des éléments pris en compte figurent dans la décision avec motifs de l'AEIC. Faits en bref Hydro-Québec propose d'augmenter la puissance de la centrale hydroélectrique de la Sainte-Marguerite-3, sur la rivière Sainte-Marguerite près de Sept-Îles. Tel qu'il est proposé, le projet comprendrait notamment l'installation d'un troisième groupe turbine-alternateur dans la centrale existante à l'emplacement prévu à cette fin, ainsi que la construction d'une conduite forcée souterraine de 300 mètres reliant la galerie d'amenée au futur groupe turbine-alternateur. Le projet permettrait d'augmenter la puissance de la centrale existante d'au moins 440 mégawatts, pour un total de 1 322 mégawatts. Le processus d'examen, du début à la fin, a pris 60 jours.

Photo: SM-3 Suréquipement


 
 
 

Comments


bottom of page